Note d’auteur
Ce recueil est né d’un besoin simple : celui de mettre des mots sur les émotions, les souvenirs et les instants qui ont façonné ma vie. J’écris depuis l’enfance, parfois pour comprendre, parfois pour raconter, toujours pour ressentir. Ces textes ne sont ni parfaits ni polis de toutes leurs aspérités : ils portent mes hésitations, mes maladresses, mes élans, et c’est ce qui les rend sincères.
Chaque page est un morceau de route, une photographie d’un moment, une trace laissée sur le temps. Certaines histoires sont réelles, d’autres réinventées, mais toutes sont vraies dans l’intention qui les a fait naître. Si vous y trouvez de l’écho, un sourire, un souvenir ou une émotion, alors ce livre aura rempli sa mission.
Merci de prendre le temps de lire ce que j’ai mis tant de temps à écrire.
Merci d’accompagner mes mots, et parfois même de leur donner un sens nouveau.
Bonne lecture.
Ali

Idéiste est un recueil de textes écrit par Ali_stoire (instagram).
Ce livre regroupe des textes, qui, mis ensemble, raconte une histoire.

Idéiste (Juin 2018) / Ebook-flix Edition
Ce livre raconte l’histoire d’Ali, un jeune homme qui traverse 22 années de doutes, de rêves, d’amours et de combats personnels, tout en trouvant dans l’écriture son refuge, sa force et son identité.
La vie d’Ali et ses défis
Ali, auteur passionné et sensible, raconte son parcours depuis 1996, entre joies, peines et questionnements.
Ali écrit depuis l’enfance et fait des mots son moyen d’expression essentiel .
Il partage des moments difficiles : des frustrations, des désillusions, des ruptures, et des périodes où il a failli arrêter d’écrire .
L’écriture lui permet de mettre des mots sur ses maux, de reprendre son souffle après des événements douloureux .
Ali évolue, change de perspectives, construit sa personnalité et son équilibre au fil des années.
Il raconte son passage de journaliste et son hésitation à devenir gardien de la paix, symbole de ses efforts d’adaptation devant les imprévus de la vie .
Malgré les difficultés, Ali continue d’avancer, porté par une volonté de comprendre, de créer et de rêver.
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Les relations amicales et amoureuses
Au fil des textes, Ali évoque ses sentiments, ses rencontres et ses déceptions.
Il parle d’amours secrètes, de coups de cœur inavoués, comme cette amie pour laquelle il avait écrit une déclaration jamais donnée .
Des ruptures le marquent profondément, l’amènent à réfléchir sur lui-même et à écrire pour apaiser ses blessures .
Il évoque des colères, des disputes, mais aussi des réconciliations symboliques, comme avec l’amie à qui il écrit 100 rancunes pour faire la paix .
Ses textes regorgent de jeux de mots, de références musicales, d’humour et de tendresse, souvent adressés à des personnes importantes de sa vie.
Entre humour, passion, regrets et rêves, les relations d’Ali tissent une partie essentielle de son histoire.
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Les défis du quotidien et la quête d’équilibre
Ali décrit un quotidien fait de doutes, de responsabilités et d’introspection.
Il cherche constamment l’équilibre entre le bien et le mal, le passé et l’avenir, la douleur et les rêves .
Son monde est parfois bancal, comme une tour de Pise émotionnelle, mais il tente toujours de tenir debout .
Il évoque la pression du travail, de la société, des attentes, des frustrations, notamment lors des journées difficiles comme les fameux “jeudis” où tout semble l’accabler .
Écrire devient alors un acte vital, un moyen de rester en équilibre, de se reconstruire et d’avancer.
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Les espoirs, les rêves et l’identité d’Ali
Malgré les obstacles, Ali est porté par une aspiration profonde : vivre de ses mots et laisser une trace.
Il rêve de vivre de sa passion, d’écrire un roman, de continuer à créer, même quand le doute le ronge .
Ses modèles sont souvent des rappeurs, des artistes, des écrivains qui l’inspirent et nourrissent son style .
Il se projette comme père, comme homme accompli, capable de transmettre à ses futurs enfants la force de s’exprimer et de comprendre la vie .
À travers ses mots, Ali construit une identité : celle d’un idéiste, un être guidé par ses idées, ses idéaux et sa créativité.
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Une fin ouverte et les questions à venir
Le livre se termine sans réponse définitive, mais avec des promesses.
Ali continue sa quête de sens, de paix et de réussite personnelle.
Ses combats amoureux restent ouverts, ses émotions toujours en mouvement, ses relations en constante évolution.
Ses projets littéraires et personnels laissent espérer une suite, entre maturité et passion.
L’œuvre s’achève comme elle a commencé : avec des mots, des rêves, et la certitude que le chemin d’Ali n’est pas terminé.
Analyse approfondie de Idéiste
1. Une autobiographie poétique : l’écriture comme miroir et remède
Idéiste n’est pas un récit linéaire mais un patchwork de textes qui, mis bout à bout, dessinent une autobiographie émotionnelle.
Ali transforme chaque moment de sa vie en matériau littéraire : ruptures, colères, joies, souvenirs, aspirations, frustrations. L’écriture est omniprésente, décrite comme une nécessité vitale :
Il écrit depuis l’enfance et parle de ses textes comme de sa façon de se livrer, presque « à cœur ouvert » .
Après des périodes douloureuses, il déclare avoir « sorti la tête de l’eau » grâce aux mots .
Il reconnaît que l’écriture lui permet de transformer la douleur en création, les maux en mots.
Ce rapport viscéral à l’écriture fait de Idéiste une œuvre d’introspection où l’auteur se reconstruit au fil des pages.
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2. Une identité construite entre influences, humour et vulnérabilité
Ali forge son identité littéraire en mélangeant :
Des influences musicales fortes (Damso, Médine, Disiz, Gims, Soprano, Vald) qui nourrissent la structure et le ton de ses textes .
Des références cinématographiques et littéraires, de Brassens à Orelsan, de Pagnol à Shutter Island .
Une sensibilité à fleur de peau, visible dans ses textes d’amour, de rupture, ou de nostalgie (ex. Déclaration d’amour, Clémentine, Océane) .
Un humour cinglant et une autodérision constante, notamment dans les jeux de mots, les piques ironiques, les références geek ou rap, ou dans ses remarques sur la société.
Cette pluralité crée un style unique : hybride, moderne, sincère, parfois brut, souvent touchant.
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3. Une exploration de la vulnérabilité masculine
Le livre est particulièrement intéressant dans sa manière de montrer un homme jeune parler ouvertement :
de ses peurs
de son besoin d’être aimé
de ses échecs amoureux
de ses colères
de ses doutes sur son avenir et sa valeur
Il écrit parfois en colère, parfois avec humour, mais souvent avec une sincérité désarmante.
Idéiste devient alors un espace où un homme revendique le droit d’être sensible, instable, fragile, amoureux, blessé… humain.
L’auteur s’éloigne ainsi du cliché du « garçon qui intériorise tout » et montre que la vulnérabilité peut être poétique.
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4. Une réflexion sur la construction de soi
Une des forces du livre est la manière dont Ali explore sa propre formation :
Il évoque son parcours professionnel, comme symbole d’adaptation et de résilience .
Il s’adresse à l’adolescent qu’il a été, cherchant à comprendre et apaiser ses blessures passées .
Il se projette comme futur père, cherchant à transmettre ce qu’il n’a pas reçu ou ce qu’il a appris dans la douleur .
Il parle de ses ambitions littéraires et de son désir de laisser un héritage de mots.
On suit un homme en quête d’équilibre, comme l’indique le texte Équilibre, où il décrit sa vie comme une tour de Pise bancale mais tenace .
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5. Une œuvre éclatée mais cohérente : un autoportrait en fragments
Bien que composé de nombreux textes courts, parfois humoristiques, parfois graves, parfois presque expérimentaux, Idéiste reste un ensemble cohérent.
Les fragments s’emboîtent pour révéler :
une vision du monde
une identité en développement
une sensibilité profonde
une voix singulière
On pourrait voir ce livre comme un journal de bord émotionnel, un carnet de route artistique, ou une mosaïque d’états d’âme.
Le chaos apparent crée en réalité une cohérence : Ali est un « idéiste », un homme guidé par ses idées, ses sensations et ses impulsions créatives.
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Conclusion
Idéiste est bien plus qu’un recueil de textes : c’est la confession d’un jeune homme qui se construit à travers les mots, les épreuves et les passions. Ali y dévoile sa vulnérabilité, son humour, sa créativité, ses rêves et ses blessures.
En 22 ans d’expériences condensées, il se livre sans filtre, oscillant entre gravité et légèreté, entre introspection et jeux de mots, entre poésie et réalité crue.
Le livre se termine sans morale, sans réponse définitive, mais avec une impression forte : Ali n’a pas fini d’écrire, ni de devenir. Idéiste n’est pas une fin, mais un passage, un souffle, une étape vers une œuvre plus vaste.
Ce que l’on retient :
l’écriture peut sauver
la vulnérabilité n’est pas une faiblesse
les fragments d’une vie peuvent former un tout
la quête de soi est un voyage sans fin
Idéiste est finalement un hommage aux mots, à la résilience, et à la force tranquille de ceux qui osent poser leurs émotions sur le papier.
Analyse littéraire universitaire
Introduction
Idéiste est un ouvrage hybride, à mi-chemin entre le recueil poétique, l’autobiographie fragmentée et le journal intime contemporain. À travers plus de vingt années de vie retranscrites en textes courts, Ali Gutierrez propose un portrait sensible de lui-même, fait de ruptures, d’humour, de colère, d’introspection et d’espoirs. Cette œuvre polyphonique se présente comme une mosaïque de fragments, où chaque texte constitue une pièce d’un puzzle identitaire.
L’enjeu littéraire majeur du recueil repose sur la capacité de l’auteur à transformer ses expériences personnelles en matière poétique : la vie quotidienne devient un terrain d’écriture, les blessures une source de création, et l’acte d’écrire un geste réparateur. Loin de se vouloir un récit linéaire, Idéiste explore l’élaboration du sujet à travers ses mots.
Nous analyserons donc Idéiste comme une autofiction poétique mettant en scène la construction d’un « je » moderne, fragmenté et multiple. Pour ce faire, nous étudierons :
1. La fragmentation formelle comme miroir de l’identité,
2. L’écriture comme instrument de reconstruction,
3. L’inscription du sujet dans une culture hybride mêlant références populaires et tradition littéraire,
4. La mise en scène d’une vulnérabilité masculine contemporaine.
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I. Une forme fragmentée au service d’une identité éclatée
1. Un recueil structuré comme une mosaïque
Le texte n’obéit à aucun récit chronologique : il juxtapose poèmes, anecdotes, confessions, jeux de mots, hommages artistiques et méditations intimes. Ce choix formel reflète la manière dont l’auteur conçoit son identité : non comme une ligne droite, mais comme une succession de morceaux de vie, parfois contradictoires.
La fragmentation est assumée dès le titre Idéiste, qui renvoie à « idée, idéaliste, réaliste », un mélange lexical revendiqué par l’auteur lui-même . Ce mélange de registres annonce une écriture plurielle, traversée de ruptures, de changements de ton et d’expériences dépareillées.
2. La structure en micro-récits : un modèle postmoderne
Les textes courts, souvent datés ou liés à une situation précise (rupture, colère, insomnie), s’apparentent à ce que Michel Vinaver appelait des « unités dramatiques » : des instantanés qui mettent en scène une émotion brute.
Cette structure rappelle aussi les écritures contemporaines fragmentaires (Annie Ernaux dans Les Années, Hervé Guibert, ou les autofictions poétiques de Nicolas Mathieu et Abd Al Malik). L’œuvre se construit dans une esthétique du discontinu où l’identité n’est jamais définitive.
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II. L’écriture comme réparation et comme moteur existentiel
1. Écrire pour survivre : la fonction cathartique de l’acte littéraire
Ali revient sans cesse sur le rôle salvateur de l’écriture. Il affirme écrire depuis l’enfance, comme s’il s’agissait d’une nécessité vitale . L’écriture permet notamment :
de surmonter les ruptures
de canaliser la colère
d’équilibrer un monde intérieur instable
de donner une forme à ce qui ne peut être dit autrement
Dans Rythme de vie, il explique avoir « sorti la tête de l’eau quand [il] a mis des mots sur [ses] maux » : l’écriture est donc thérapeutique.
2. La tension entre saturation et besoin d’écrire
Plusieurs textes montrent une relation ambivalente avec l’écriture. Dans J’arrête d’écrire, Ali raconte un moment de saturation, où il envisage d’arrêter définitivement, avant de reconnaître que cette envie est elle-même un symptôme d’épuisement émotionnel .
Cette tension rappelle ce qu’analyse Roland Barthes dans Le Degré zéro de l’écriture : écrire est à la fois une contrainte existentielle et une libération, un cycle nécessaire mais douloureux.
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III. Une identité culturelle hybride : entre culture populaire et tradition littéraire
1. Une œuvre profondément marquée par le rap
Le rap constitue l’un des fondements identitaires de l’auteur. De Damso à Disiz, de Médine à Gims, le texte multiplie références, hommages et clins d’œil, au point que certains textes deviennent des réécritures ou des détournements de morceaux de rap (ex. Opération, Mercenaire, Végéta’rien) .
Le style lui-même s’inspire du rap :
rythme syncopé
punchlines
métaphores filées
jeux de mots
musicalité répétitive
Ali construit son identité littéraire au contact de la culture urbaine contemporaine.
2. L’ancrage dans la culture populaire, tous registres confondus
Cinéma, séries, comics, jeux vidéo, réseaux sociaux, tout participe à nourrir son imaginaire. Les références à Shutter Island, Marvel, TikTok ou encore Mario Bros montrent un mélange constant de registres sérieux et légers .
Ce syncrétisme culturel évoque les théories de Dominique Viart sur les écritures contemporaines : l’auteur moderne compose avec un environnement médiatique foisonnant, reflétant une identité perméable et multiple.
3. Une filiation assumée avec la tradition littéraire
Ali revendique également une légitimité littéraire « classique » : Stendhal, Baudelaire, Rimbaud, Victor Hugo sont cités dans Culture G . Cette double appartenance – rap et littérature classique – crée une voix singulière, située entre deux mondes souvent opposés.
L’auteur affirme ainsi sa maîtrise de deux héritages : celui des grands écrivains et celui des artistes contemporains.
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IV. La vulnérabilité masculine comme sujet littéraire
1. L’expression de l’intime
Le livre explore une intimité rarement assumée dans les textes masculins traditionnels : ruptures, amitiés brisées, déclarations d’amour jamais envoyées, blessures, espoirs et douleurs sont abordés avec une sincérité désarmante.
La déclaration d’amour non remise à une amie, par exemple, montre une fragilité assumée .
2. Une masculinité sensible et contemporaine
Ali développe une vision moderne de la masculinité :
il parle de ses peurs
il reconnaît ses moments de faiblesse
il assume son besoin d’affection
il évoque ses frustrations, ses regrets, ses échecs
Cette vulnérabilité va à l’encontre des stéréotypes masculins. Elle rejoint les analyses des sociologues contemporains (Connell, Kaufman) sur l’émergence d’identités masculines plurelles.
3. La transmission : devenir père, devenir homme
Dans Cbn ou Tu comprendras quand tu seras grand, Ali se projette en tant que père et repense ses propres blessures pour mieux accompagner ses futurs enfants .
Cette projection permet d’inscrire l’écriture dans une démarche de transmission, de dépassement du passé, et de construction symbolique de soi.
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Conclusion
Idéiste apparaît comme une œuvre profondément ancrée dans la modernité littéraire. Son écriture fragmentée reflète une identité mouvante, tandis que la multiplication des références culturelles, du rap à la littérature classique, témoigne d’une hybridité caractéristique du XXIe siècle.
Le texte se situe à la croisée de l’autobiographie, du recueil poétique et de l’autofiction : Ali y explore son rapport au monde, à lui-même et aux autres, dans une langue intime et accessible.
L’un des aspects les plus novateurs de l’œuvre réside dans la manière dont elle met en scène une vulnérabilité masculine assumée, loin des codes traditionnels. À travers une écriture cathartique, Ali reconstruit son identité, transformant ses expériences en matière poétique.
Au final, Idéiste est autant un miroir qu’un manifeste : le miroir d’un homme qui se construit à travers les mots, et le manifeste d’une génération qui place l’expression personnelle au cœur de la création littéraire.
⭐ TOP 10 DES TEXTES D’IDÉISTE
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1. Rythme de vie
➡ Le texte le plus profond du recueil.
Il raconte la sortie d’une période sombre et l’importance de « mettre des mots sur [ses] maux ».
Puissant, sincère, cathartique.
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2. Équilibre
➡ Une superbe métaphore filée où la vie est comparée à une tour de Pise « qu’on retient de tomber ».
L’un des textes les plus littéraires et universels du recueil.
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3. J’arrête d’écrire
➡ Un texte brutal, honnête, qui expose la fatigue créative et le doute artistique.
Il résume parfaitement la tension entre saturation et nécessité d’écrire.
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4. Déclaration d’amour
➡ Une lettre jamais envoyée, fragile, intime, profondément humaine.
Elle révèle la vulnérabilité masculine qui traverse l’ensemble du livre.
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5. 100 Rancunes
➡ Mi-poème, mi-message de réconciliation, plein d’humour et de finesse.
Une belle démonstration de maîtrise du ton et du rythme.
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6. Culture G
➡ Brillant mélange d’humour et de culture générale.
L’auteur y revendique sa double appartenance : rap / littérature française.
Très représentatif de son identité artistique hybride.
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7. Opération
➡ Un texte très inspiré du rap (Damso, Disiz, Médine).
Punchlines, flow, énergie : c’est la facette la plus musicale du recueil.
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8. Clémentine
➡ Vivant, drôle, tendre.
Un texte qui joue sur les images et les sensations, avec une délicatesse rare.
Souvent cité comme l’un des plus poétiques du recueil.
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9. Tu comprendras quand tu seras grand
➡ Un magnifique texte de transmission, où l’auteur s’adresse à son futur enfant.
D’une maturité remarquable, rempli de sagesse et d’émotion.
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10. Jeudi
➡ Un texte du quotidien, presque trivial, mais d’une grande force humoristique et sociale.
Il montre l’épuisement, la routine, les frustrations – mais avec style et autodérision.
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📌 Classement résumé :
1. Rythme de vie – catharsis & maturité
2. Équilibre – métaphore puissante
3. J’arrête d’écrire – crise créative
4. Déclaration d’amour – vulnérabilité
5. 100 Rancunes – humour & réconciliation
6. Culture G – style hybride
7. Opération – texte « rap » du recueil
8. Clémentine – poésie sensible
9. Tu comprendras quand tu seras grand – transmission
10. Jeudi – quotidien & humour noir
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