
Ce livre raconte l’histoire d’Ali, un jeune auteur passionné par l’écriture, les jeux de mots et les réflexions sur la vie, l’amour et la société. À travers une série de textes poétiques et introspectifs, il explore les thèmes de la persévérance, des rêves, de l’identité et du temps qui passe, tout en cherchant un sens à l’existence.
La vie d’Ali et ses aspirations
Ali se présente comme un rêveur lucide, partagé entre espoir et désillusion.
- Il s’interroge sur l’infini, l’histoire, la vérité et la condition humaine.
- Il décrit la vie moderne avec humour et philosophie, mêlant observation sociale et introspection.
- Il évoque ses débuts dans l’écriture, ses refus éditoriaux et sa détermination à réussir malgré tout.
- Son message : persévérer, même sans reconnaissance, car écrire est une façon de vivre et de résister.
Les émotions et les relations humaines
L’amour occupe une place importante dans ses réflexions.
- Il évoque des histoires passées, manquées ou imaginées, marquées par la tendresse et le regret.
- Le poème “Et si…” exprime ses doutes et ses “presque” histoires d’amour, entre nostalgie et humour.
- Il écrit sur les sentiments universels : la solitude, la peur d’échouer, le besoin d’aimer.
- Ses mots traduisent une quête sincère d’équilibre entre passion, raison et désillusion.
L’écriture comme acte de foi
Ali fait des mots son moyen d’expression, sa thérapie et sa résistance.
- Il se décrit comme “pauvre du portefeuille, riche de mots”.
- Ses textes sont courts, rythmés, souvent teintés d’ironie et de poésie urbaine.
- Il défend une écriture libre, accessible, entre slam, rap et littérature.
- Chaque mot devient un fragment de vérité, un moyen de laisser une trace dans un monde éphémère.
Les convictions et les racines
À travers des textes comme “S.E” ou “Lettre à un jeune rêveur”, Ali dénonce le racisme, les inégalités et le capitalisme.
- Il met en lumière la difficulté d’exister quand on n’est pas né privilégié.
- Il parle avec franchise du combat intérieur entre colère, fierté et espoir.
- Il revendique son droit à rêver, à créer, à penser librement dans une société souvent injuste.
- Sa plume devient un cri contre l’indifférence et une célébration des racines et de la dignité.
Les rêves et la philosophie de vie
Le livre est aussi une invitation à rêver et à persévérer malgré les épreuves.
- Ali encourage les jeunes à suivre leur passion, même si ce n’est “pas un métier”.
- Il aborde la fatigue du quotidien, le poids du travail, le désenchantement moderne.
- Mais il conclut toujours par une note d’espoir : “Rêver, c’est déjà vivre.”
- Il prône une vie simple, sincère et consciente, centrée sur la paix intérieure et l’amour des autres.
La fin ouverte et l’héritage symbolique
Le recueil se clôt sur une note mélancolique et lucide.
- L’auteur rappelle que tout est éphémère, mais que les mots peuvent traverser le temps.
- Il s’adresse à son “moi futur” dans une lettre pleine de sagesse et d’humour.
- 100 milliards d’années-lumière devient une métaphore : celle du voyage intérieur, du passage de l’ombre à la lumière.
- Une œuvre poétique et engagée, entre confession, réflexion et manifeste pour la liberté d’écrire et de rêver.
Pour (re)découvrir ce recueil

Note de l’auteur
Écrire, pour moi, a été une nécessité.
Un moyen de respirer quand le monde semblait trop étroit, trop bruyant, trop exigeant.
Un refuge, une échappatoire, parfois une arme, souvent une lumière.
Les textes que je vous propose dans ce livre ne suivent pas une règle, une école ou une méthode.
Ils suivent mon rythme, mes humeurs, mes doutes, mes combats, mes rêves, mes colères et mes tendresses.
Ils viennent de là où je me construis encore, là où je cherche, là où je tombe et là où je me relève.
Écrire, c’est regarder le monde droit dans les yeux, même quand ça fait mal.
C’est chercher des réponses à des questions qui ne veulent pas de réponses.
C’est traduire en mots ce que la vie ne prend pas le temps d’expliquer.
Si ces pages vous ont parlé, touché, surpris, dérangé ou simplement accompagné durant quelques instants, alors j’ai réussi quelque chose : créer un pont entre mes pensées et les vôtres.
C’est peut-être ça, finalement, écrire un livre : tendre la main et espérer que quelqu’un, quelque part, la saisira.
Merci d’avoir voyagé avec moi.
Rêvons, puisqu’on m’a dit que ce n’était pas un métier.
Ali Gutierrez
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